Un Monde en transition par Thierry Saussez
L’actualité nous rappelle, chaque jour, que nous vivons l’une de ces grandes étapes de transition du monde avec ses incertitudes, ses menaces, ses peurs et en même temps des progrès comme jamais l’humanité n’en a connus. Oui, jamais les avancées de la recherche, de la science, de la médecine, des technologies n’ont été plus spectaculaires. Et jamais la chance de trouver des solutions à la famine, au sous-développement, à la pénurie d’eau, aux virus n’a été plus grande.
Voilà le sens de notre engagement : au-delà du développement personnel, de l’utilisation maximale de nos capacités, c’est porter un espoir collectif, promouvoir l’engagement, chercher toujours le coin de ciel bleu derrière les nuages.
Le pessimisme ne construit rien. Il est repli, renoncement. Il gâche des vies. Comme la sinistrose, il compromet la consommation, l’investissement, l’emploi et donc aussi le financement de la solidarité.
Cette mobilisation, nous la développons avec nos partenaires et soutiens fidèles, ainsi qu’avec vous, dans le cadre de l’Association du Printemps de l’Optimisme. Si vous ne nous avez pas encore rejoints, faites-le vite ! Nous préparons un espace dédié beaucoup plus fourni et des surprises pour la prochaine édition réservée aux membres. Rejoignez- nous régulièrement sur les réseaux sociaux. Et partagez nos infos. Vous êtes les relais d’une grande cause nationale.
Concluons avec cette magnifique sentence de Jack Layton, un ancien homme politique canadien :
» Mes amis, l’amour est cent fois plus fort que la haine. L’espoir est meilleur que la peur. L’optimisme est meilleur que le désespoir.
Alors, aimons, gardons espoir et restons optimistes.
Et nous changerons le monde »
Thierry Saussez,
Créateur du Printemps de l’Optimisme
Auteur du « Manifeste pour l’optimisme », des « 101 mots de l’optimisme » et des « 50 bonnes raisons de choisir l’optimisme »
Merci.cela remet les »pendules a l’heure »…
Bien cordialement
N.J.
La France était un phare pour le monde il y a encore 102 ans. Je conseille vivement de lire et relire « le Monde d’hier » de S. Zweig. A l’époque l’Amérique venait apprendre l’entrepreneuriat en France. Ce phare était animé d’un humanisme et d’un progressisme enchanteur et idéaliste. On industrialisait le progrès et le beau.
2 guerres sont passées par là. On a industrialisé l’horreur. La lumière s’est éteinte. L’enthousiasme est devenu quelque chose de très intime, les études le montrent. Certains objecteront: ce n’est pas vrai, il y eu les années folles, puis les 30 glorieuses. Zweig y répond en citant Freud : « tout le monde croyait que ce serait la der des der. Freud, lui savait que cet enthousiasme n’était que la croûte de l’être et qu’il existait des ténèbres au dessous »
Notre travail d’optimiste est là. Rappeler qu’il existe une lumière au fond des ténèbres en chacun de nous… parfois sous une grosse couche de noirceur. Notre chemin, notre chance qui nous construit est là. Travaillons cette noirceur ensemble pour la dépasser. Dépassons nos dissensions passées ou présentes justes contre collabos, fonctionnaires contre libéraux, salariés contre patrons. Mettons la réconciliation au coeur de notre projet de « vivre »… que dis-je de « Construire ensemble »
J’aime me lever le matin avec comme objectif de contribuer à « construire ensemble un monde meilleur ».
… et de me coucher en listant mes bons accomplissements !
Je votre pour le printemps de l’optimisme !